Qui était John Muir ? (partie 3)
Lire la suite
Le terme, qui est issu de la traduction de l’anglais ‘rewilding’, est apparu dans les années 2000 du naturaliste Dave Foreman à l’origine de la création du réseau Wildlands aux Etats-Unis. Le ré-ensauvagement ou renaturation désignait alors une sorte de restauration écologique appliquée aux zones anciennement dégradées par l’Homme.
A notre sens, renaturer est le fait d’ouvrir la voie à une nouvelle relation avec la nature, qui puisse être pérenne.
Plutôt que de se concentrer sur certaines espèces en particulier, la renaturation met l’emphase sur les processus naturels qui maintiennent les fonctions écologiques d’un milieu. Restaurer la fonction écologique d’un milieu dans son ensemble, qu’il s’agisse des sols, de la qualité de l’air, du retour des végétaux et la séquestration du carbone qui va avec, c’est tout cela à la fois !
Et l’avantage dans tout cela, c’est que dans la grande majorité des cas, ces processus n’ont besoin de rien ni personne pour se produire !
C’est donc aussi une approche économique et efficiente qui se veut participative et ouverte à tous.
Il s’agit donc de travailler ‘avec’ et non plus ‘contre’ la nature, sans dicter ce à quoi un milieu ‘devrait’ ressembler mais en restant ouvert aux évolutions de ce milieu.
Si vous avez l’impression que tout cela est très compliqué, c’est parce que les procédés naturels sont complexes, mais la méthode de renaturation, elle, est très simple ! Il s’agit justement de laisser place à ces procédés en leur donnant le temps et l’espace dont ils ont besoin.
Quelques articles (en anglais) pour en apprendre plus :
Qui était John Muir ? (partie 3)
Lire la suiteQui était John Muir ? (partie 2)
Lire la suiteQui était John Muir ? (partie 1)
Lire la suiteLes institutions du bien des sols, partie 3 : la...
Lire la suiteParmi les critères demandés pour être reconnus d’utilité publique, nous réunissons déjà les suivants:
– être d’intérêt général,
– avoir un rayonnement dépassant le cadre local,
– avoir un fonctionnement démocratique
Soutenez-nous pour acquérir, grâce à vos dons et à vos adhésions, les critères suivants:
– avoir au minimum 200 adhérents
– avoir une activité effective et une vie réelle
– avoir une solidité financière de 46 000 euros / an (avec des subventions inférieures à la moitié du budget).
Dès que notre association sera reconnue d’utilité publique*, vous pourrez également nous soutenir concrètement et durablement en faisant un legs, une donation, un contrat d’ une assurance-vie au profit de l’association terres à Terre. Ils seront utilisés pour l’acquisition foncière de terrains labellisés Espaces pour le vivant.
* Les critères actuels pour être reconnue d’utilité publique sont: avoir un nombre minimum d’adhérents de 200, être d’intérêt général, avoir un rayonnement dépassant le cadre local, une activité effectif et une vie réelle, un fonctionnement démocratique, avoir une solidité financière de 46 000 euros / an (avec des subventions < à la moitié du budget).
Si vous préférez adhérer sans réaliser de transaction en ligne veuillez téléchager notre bulletin d’ahésion ici.